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BLACK MIRROR – Come back to Reality !

Les nouvelles technologies et leur avance plus que rapide dans notre société peuvent inquiéter les individus, voire au contraire, les stimuler. 

La série télévisée Black Mirror réalisée en 2011 par Charlie Brooker en Angleterre fascine les internautes. Chaque épisode des 5 saisons est indépendant et traite des pouvoirs des nouvelles technologies. Chaque histoire part d’une facette de la technologie actuelle ou antérieure, pour arriver à une seule et unique conclusion : notre monde est et sera affreux. 

Les épisodes de la série Black Mirror s’attardent donc sur l’influence qu’exerce cette avance technologique sur notre société. Prenons l’exemple de « Rachel, Jack and Ashley Too », un épisode appartenant à la cinquième saison de la série qui est au centre des débats. Pour faire court, le monde de la technologie a créé un robot conversationnel très réaliste, qui est à l’effigie d’une célébrité (Miley Cyrus dans la série, qui joue le rôle d’Ashley, chanteuse et idole). Ainsi, les fans de la Pop Star pourront communiquer avec ce robot dont les traits de personnalité ont été copiés directement du cerveau de la personne concernée. Tout au long de l’épisode, le robot acquiert son indépendance et devient une personne à part entière. Une intelligence artificielle qui dérive. 

Le réalisateur veut encore une fois faire réagir les internautes avec un épisode dont le déroulé nous montre que nous vivons dans une cage dorée opprimée par les jugements et les stéréotypes de la société. Selon moi, le seul et unique but de cette série est de lancer un avertissement moral à tous les amateurs de nouvelles technologies. Il est vrai que plus on avance dans le futur, plus la place des intelligences artificielles se fait importante, et cela peut avoir des conséquences sociétales catastrophiques. La seule chose que je n’ai pas appréciée est le fait de manipuler les jeunes filles fans de la célébrité, qui délaissent toute leur vie sociale pour le seul plaisir de parler avec un robot, une personne irréelle.

Un autre épisode qui a attiré mon attention est « Smithereens » appartenant également à la cinquième saison de la série Black Mirror. Résumé rapide : « Un chauffeur de VTC provoque une crise internationale lorsqu’il kidnappe un employé travaillant pour un grand réseau social. L’homme n’a qu’une seule et unique revendication : pouvoir parler avec Billy Bauer, grand patron d’un réseau social aussi important que Facebook dans la série ».

Contrairement à l’autre épisode qui traite littéralement de l’intelligence artificielle, ce dernier montre les dangers auxquels notre Smartphone nous expose au quotidien. 

Le réalisateur dit que l’idée de cet épisode vient de la confiance que l’on accorde à un chauffeur lorsque l’on commande un Uber. L’autre fait important est que notre téléphone nous garde connecté, et nous déconnecte du monde réel. 

Cet épisode est assez frappant, dans le sens ou l’on réalise que nous sommes exposés tous les jours à des dangers, comme des psychopathes, etc. Dans ce cas, on fait face à une situation extrême au cours de laquelle le Smartphone est au centre des intérêts : il permet au coupable de kidnapper sa victime, mais aussi à la police de les espionner lors de la prise d’otage. Les fonctions d’un téléphone sont multiples et nous n’en avons pas conscience. 

Sources :

http://www.sorbonne-universites.fr/publics/presse/nos-experts-dans-les-medias/black-mirror-ou-lambiguite-du-pire.html

https://www.huffingtonpost.fr/entry/black-mirror-saison-5-netflix_fr_5cf628d7e4b0e8085e3fcc22

GUESSAB CHOUROUK Sabrina

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L’AVATAR VIRTUEL

Dans ce premier Post, nous allons analyser l’avatar virtuel, et comment la technologie a révolutionné le monde de la mode. 

De nos jours, notre monde se digitalise de plus en plus. La technologie avance et évolue à vue d’oeil, et aujourd’hui, il est déjà impressionnant de voir que plusieurs industries sont déjà touchées par ce phénomène. 

Notre monde se virtualise et devient particulièrement un monde d’avatar, nous allons analyser ce phénomène dans une industrie à très haute consommation, la mode. 

Tout d’abord, je pense personnellement que la technologie est apparue dans notre monde pour faciliter la vie aux humains et apporter des solutions rapides à nos problèmes. J’ai choisi d’analyser l’impact de la technologie dans l’industrie de la mode car c’est un sujet qui me touche particulièrement, puisque je travaille moi-même dans la mode, j’en ai fait mon métier et je compte gagner ma vie en créant ma propre marque de vêtements dans un futur proche. Bien évidement, j’ai étudié le sujet pendant un certain temps et connais assez bien son évolution, ce qui me permet d’avoir un regard critique sur chaque sujet que je vais aborder au fil des semaines. 

Un vêtement commence bien évidement par sa production, une première étape cruciale qui nécessite un temps considérable; c’est pourquoi la technologie apporte une aide précieuse. Les designers ont de nos jours digitalisé la majorité des étapes du processus de production d’un vêtement. Par exemple, CLO 3D est un logiciel d’animation pour designer qui leur permet d’animer un mannequin virtuel et lui faire essayer des prototypes. Ce logiciel fait économiser énormément de temps puisque les modifications peuvent être faites directement sur le logiciel et ne pas avoir à faire des retouches sur le vêtement réel. 

Par ailleurs, la technologie n’est pas uniquement à la disponibilité des designers et stylistes. Les consommateurs aussi peuvent en profiter, notamment en essayant des vêtements virtuellement! Premier exemple, Ralph Lauren qui lance des cabines interactives, ou les clients peuvent interagir avec le miroir de la cabine pour avoir plus d’infos sur l’article, demander une taille différente…

On retrouve aussi Yoox, une plateforme qui permet aux clients de la plateforme de créer un Avatar virtuel et de l’habiller comme bon leur semble avec les articles en vente. 

Je trouve que cette innovation technologique est en effet très intéressante mais pas assez évolutive. Personnellement, je préfèrerais essayer un vêtement moi-même que de le faire essayer à un avatar car rien ne vaut vraiment le toucher d’un vêtement. À choisir, je préfère encore l’innovation de POLYU qui donne une projection 3D précise de notre morphologie. AR Smart Mirror aussi, provenant de la compagnie CLO, donne la possibilité d’essayer des vêtements sans se déshabiller à travers une simulation 3D. 

De plus, ces technologies sont aussi très respectueuses de l’environnement. En effet, commander des vêtements sur internet sans même les essayer donnent souvent suite à des décisions pas très écologiques. Par exemple, un pantalon trop grand ou trop petit finira probablement à la poubelle. L’innovation technologique la plus respectueuse de l’environnement est Carlings. Au lieu de créer des designs tout fait, ils invitent les consommateurs à participer au design de leur vêtement en téléchargeant une image qui apparaitra sur leur futur T-Shirt. 

La réalité virtuelle dans le secteur de la mode est une technologie relativement nouvelle, mais la puissance qu’elle exploite est non négligeable, puisqu’elle s’engage notamment à respecter l’environnement, et pousser les gens à prendre des décisions qui auront moins d’impact sur notre terre. 

Imaginez une situation où, au lieu d’aller dans un centre commercial ou un magasin pour un achat, on ne soit plus obligés de le faire? 

Si l’intelligence artificielle dans l’industrie de la mode peut permettre aux gens d’essayer avant qu’ils ne décident d’acheter, cela signifie qu’un article n’allant pas forcément à l’acheteur sera épargné sur la route. Quelqu’un qui décide qu’il n’aime pas la chaussure à son pieds après l’avoir reçue, va bien évidemment la jeter.

Essentiellement, ce que je veux dire, c’est que la réalité virtuelle permettra simplement aux gens de prendre des décisions plus réfléchies et plus ciblées sur ce qu’ils veulent vraiment. Et cela permettra également aux gens d’explorer peut-être des styles qu’ils n’auraient peut-être pas essayés auparavant. 

Il y’a énormément d’opportunités dans le monde de la réalité virtuelle, et je pense que ça peut apporter un réel impact positive, vers une plateforme environnementale plus durable et plus consciente. 

— Guessab Achouak Sarah

https://www.prnewswire.com/news-releases/polyu-intelligent-3d-human-modelling-technology-projecting-body-shape-and-size-accurately-within-10-seconds-679290783.html

YOOX combine intelligence artificielle et avatars numériques pour l’essayage virtuel

La technologie de modélisation humaine 3D de PolyU donne une projection précise la forme et de la taille du corps

YOOX combines AI and digital avatars in virtual try-on feature

Consommation : vers un monde d’avatars

ADIDAS Speedfactory

Dans ce dernier article, j’ai choisi de parler d’Adidas et de sa « Speedfactory ». 

Une speedfactory est une installation qui associe une main d’œuvre humaine de petite taille à beaucoup de nouvelles technologies telle que l’impression 3D, les bras robotiques ou le tricotage informatisé. Le tout permet à une marque, par exemple Adidas, de fabriquer des chaussures de courses en masse, et généralement dans des pays lointains telle que la Chine. Dans une Speedfactory, les machines font la plus grande partie du travail, et la main d’œuvre n’est là que pour lancer les productions, et veiller à que tout soit en ordre. 

La Speedfactory est toujours automatisée pour être en mesure de produire rapidement des séries limitées de produits. Adidas a déclaré qu’il pouvait commercialiser ses chaussures trois fois plus rapidement dans une Speedfactory que dans une usine traditionnelle. Adidas produit maintenant ses chaussures de sport en Asie. Ils attendent de la speedfactory une excellente capacité de production et une plus grande flexibilité dans la fabrication des produits. 

Je pense que la Speedfactory est une excellente nouvelle pour la marque Adidas, et surtout pour les consommateurs Adidas qui en bénéficieront puisqu’à à l’avenir il y’aura beaucoup plus de modèles de chaussures grâce à la rapidité de la production, et l’entreprise pourra répondre rapidement aux besoins des consommateurs. Dans un précédent article, j’ai pu parler de l’Impression 3D et sa place dans l’industrie du textile. Nous pouvons voir que dans sa Speedfactory, Adidas a bien évidemment adopté la technologie d’impression 3D, un moyen supérieur de produire des chaussures.

GUESSAB ACHOUAK

https://www.adidas-group.com/en/media/news-archive/press-releases/2019/adidas-deploys-speedfactory-technology-at-asian-suppliers-by-end-2019/

https://www.wired.com/story/inside-speedfactory-adidas-robot-powered-sneaker-factory/

Une ancienne base sous-marine de Bordeaux va devenir un grand centre d’art numérique

Ouverture prévue le 17 avril 2020, les Bassins de lumière ouvriront leurs portes, à Bordeaux. Ce nouveau centre d’art numérique créé par Culturespaces sera situé dans l’ancienne base sous-marine de la ville.

L’entreprise française Culturespaces spécialisée dans la gestion des monuments et musées (par exemple les Carrières de Lumières des Baux-de-Provence et l’Atelier des Lumières de Paris) a annoncé que la Base sous-marine accueillera bientôt le Bassin des Lumières dédié à l’art digital.

Construit lors de la Seconde Guerre Mondiale, l’imposant bâtiment de 42 000 mètres carrés accueillit entre 1941 et 1943 les sous-marins italiens et allemands avant d’être laissé à l’abandon pendant plusieurs années. Ce vestige de la guerre a ensuite été transformé en ateliers de métallurgie et construction navale avant de devenir un gigantesque espace culturel.

Le projet de Bordeaux promet des expositions numériques immersives monumentales, dédiées aux grands artistes de l’histoire de l’art et à la création contemporaine, qui s’étendront sur une surface très vaste.

Des œuvres y seront projetées sur les gigantesques murs de 12 mètres de haut, 100 mètres de long et 22 mètres de large du bâtiment.
Jeux de lumières, effets sonores et créations digitales habilleront la Base sous-marine qui devient ainsi le plus grand centre d’art numérique du monde selon Culturesspaces.

Lors de l’ouverture, la première exposition sera dédiée à Gustav Klimt et un siècle de peinture viennoise, ainsi que les œuvres de l’Allemand Paul Klee. (les billets sont même déjà disponibles en ligne).

Le plus de ces expositions par rapport aux plus classiques  est que le Bassins de lumière proposera des expositions numériques, sur mesure et ajustées à l’architecture monumentale de la base sous-marine et qui se refléteront dans l’eau des quatre immenses bassins du bâtiment.
La visite s’effectuera sur des passerelles au-dessus de l’eau et le long des quais des 4 gigantesques bassins (10 m de long, 22 m de large et 12 m de hauteur). On y déambulera au cœur des œuvres d’art projetées à 360°. Les amateurs d’art classique comme contemporain y trouveront leur compte.

 « Les Bassins de Lumières proposeront des expériences visuelles et sonores inoubliables dans un espace hors du commun, lieu de partage de la culture ouvert à tous les publics  » Bruno Monnier, Président de Culturespaces.

Mon point de vue : Lieu quelque peu insolite pour accueillir de la culture, mais faire revivre des bâtiment historiques et des œuvres d’art parfois oubliés en même temps est un paris qui ne peut que fonctionner. C’est assez impressionnant de voir ce que la technologie peut faire, par exemple l’Atelier des Lumières à Paris, des oeuvres classiques agrandies et mises en scènes! Je suis assez fan du concept. J’ai aussi lu que 350 000 visiteurs sont attendus pour ce projet audacieux, et j’espère en faire partie.

Margot Cherbit

Inspirations et sources :http://www.bassins-lumieres.com/
https://www.tourhebdo.com/tourismedegroupe/actualites/loisirs/un-centre-dart-numerique-dans-une-base-sous-marine-bordelaise-544860.php
https://hypebeast.com/fr/2019/12/bordeaux-art-base-sous-marine-bassin-des-lumieres-ouverture-plus-grand-monde

CHAUSSURES AUTO-LASSANTES

Les nouvelles technologies sont souvent hallucinantes. Voici l’exemple d’une paire de chaussures Nike auto lassante. Cette paire est ciblée principalement pour les sportifs de haut niveau, leur offrant un contrôle totale accessible sur téléphone mobile. 

En effet, Nike a présenté il y’a peu de temps une paire de basket connectée qui prend vie lorsqu’on l’enfile. Elle s’adapte à la forme du pied et est liée à une application mobile qui permet de capter la paire sur le pied, et gérer le niveau de serrage grâce à la technologie appelée E.A.R.L. Un capteur est intégré et une lumière bleue devient visible au moment de l’adaptation du pied à la chaussure, et au moment du rechargement. La lumière peut être personnalisée et est intégrée au Design de la paire de chaussure. De plus, une telle technologie ne peut fonctionner sans batterie, elle doit en effet être chargé au préalable. La paire doit être posée sur un tapis confectionné spécialement pour son rechargement sans fil. Cette paire de Basket a été mis en vente en France pour un prix de 700 euros, et 350 euros (deux formats). 

Je trouve que cette technologie est assez surprenante, je n’aurai pas cru entendre un jour parler une chaussure auto lassante, c’est quand même peu croyable. Et pourtant, elle existe vraiment. Cependant, j’ai pu lire des avis assez négatifs concernant cette innovation technologique. La cible première de cette paire est les sportifs, et le plus grand souhait des sportifs est de pouvoir connaître leurs performances au fur et à mesure pour analyser leur évolution. La paire de chaussure ne possède aucun capteur pour mesurer l’activité des athlètes, un point assez décevant pour une paire de Basket de course. 

Par ailleurs, des témoignages ont été fait sur des forums insinuant la mauvaise performance de l’application mobile. Apparemment, pas mal de Bug ont été remarqué rendant la paire de basket inutilisable, puisque l’application permet principalement de serrer la paire. Très énervant lorsqu’on dépense 700 euros pour une paire qu’on ne peut même pas lasser.

Nike va donc devoir revoir son innovation et retravailler dessus pour mettre en place un produit capable de satisfaire leur cible. 

https://www.20minutes.fr/high-tech/2457547-20190222-nike-nouvelles-baskets-auto-lacantes-lacent-android

GUESSAB ACHOUAK

La technologie nous rendrait-elle criminel ?

PSYCHO PASS – SAIKO PASU

Le digital a révolutionné notre monde à l’échelle internationale. Aucune ville ne peut désormais se passer des nouvelles technologies. Que ce soit au niveau de la vie professionnelle ou sociale, le digital a pris le contrôle. C’est l’idée qu’illustre le manga/anime « PSYCHO PASS » réalisé par Saiko Pasu.

Pour faire un rapide synopsis, le manga japonais traite d’une histoire ayant lieu dans la ville de Tokyo au Japon en l’an 2112, à savoir dans le futur, là où les technologies sont bien plus avancées qu’à l’heure actuelle.  Dans cette société futuristique, l’état mental et la personnalité de tous les citoyens peuvent être calculés grâce à un dispositif dans leurs corps appelé le « Psycho Pass ». C’est un genre de puce mise en place par le gouvernement, qui permet de mesurer le degré de criminalité des gens et ainsi prévenir leurs attaques. Le but est alors de créer une société parfaite, sans besoins ni problème social, économique ou politique (puisque le gouvernement est impliqué), mais surtout une société dans laquelle le crime n’existe plus (ou presque). Le manga japonais tourne autour de deux personnages travaillant dans le bureau de sécurité publique (Police), leur but étant d’éliminer les menaces de la société. 

J’ai vu les deux saisons de ce manga. J’ai vraiment accroché dès le premier épisode et la première saison est très bien faite. On découvre une société ou le contrôle et la surveillance font partie du quotidien. Les instruments de surveillance sont tellement omniprésents qu’ils en deviennent transparents aux yeux des citoyens : les caméras, drones, et robots de surveillance ne sont pas remis une seule fois en question par les habitants. Toutefois, la première saison se suffit à elle-même. Le scénario de la seconde saison est beaucoup moins excitant, et ressemble à une série policière plus que banale. L’auteur aurait dû se concentrer sur le passé d’un des personnages principaux qui est primordial et que l’on cherche à comprendre et connaitre depuis le début. Sur le fond, nous avons affaire à une trame policière compliquée par l’univers de science-fiction. 

Pour finir, on peut détecter dans cet anime plusieurs mises en garde à l’égard de la montée du digital et des nouvelles technologies. Mélangées à la science, elles peuvent faire des ravages dans la société, la preuve y est. On risque d’y perdre notre liberté, nos émotions, voire notre humanité entière. 

Dans cet anime, cette puce implantée dans le corps humain permettant de mesurer notre degrés de criminalité ne se base que sur l’angoisse et le stress. En quoi ces facteurs sont-ils des indices antérieurs à un acte criminel ? Le système prive les citoyens de leurs émotions, et créé une frustration née d’une dictature mise en place par le gouvernement.

https://gold-n-blog.fr/critiques-de-series/psycho-pass/

GUESSAB CHOUROUK

Karacal, le podcast qui bouleverse la balade au musée

A l’ère d’un tourisme et d’une offre culturelle de plus en plus tournés vers le numérique, les territoires français doivent renforcer leurs propositions pour attirer et accompagner au mieux les visiteurs.
La visite d’un musée ou d’un monument est magnifiée par le discours d’un guide passionné. Karacal proposera aux professionnels et aux particuliers connaisseurs d’enregistrer des visites guidées sous forme de podcasts. Les podcastes enregistrés respecteront une formation spécifique afin d’assurer la qualité des informations transmises. Écouteurs dans l’oreille, il sera donc possible de visiter les musées avec un guide invisible et spontané, engageant et/ou amusant.

Cette application libèrera la culture grâce à des podcasts de visite et sera lancé le 1er mars 2020.

Qu’est ce qu’un podcast de visite ? C’est un audio enregistré par un guide depuis le lieu qu’il veut te faire découvrir. Que ce soit un musée, un monument, un quartier ou un chemin de randonnée, plus il y a de passionnés, plus il y a de podcasts.

Réaliser un podcast de visite propose aux visiteurs plusieurs avantages comparés  aux audioguides classiques. Premièrement, le ton du podcast est naturel. Le contenu est enregistré depuis le lieu de la visite. Le guide s’adresse au visiteur, alors qu’ils évoluent au même endroit. L’oreille du visiteur ne décèle pas de différence car le son est cohérent et identique à celui de l’environnement dans lequel il évolue. Ensuite, les podcasts de visite sont hébergés sur l’application mobile. Ils permettent une grande liberté de création. En effet, le podcast peut être sérieux, fait avec humour, issus d’un témoignage, pour les enfants, pour les malvoyants, ou encore en langue étrangère ou régionale… Il s’agit également d’une option moins cher, grâce à son mode de réalisation plus flexible, le podcast de visite coûte moins cher et est moins long à réaliser que des solutions concurrentes comme l’audioguide.

« La mission de Karacal : Faire sauter les murs de la culture en réinventant les audio-guides. Nous donnons aux passionnés le pouvoir de réaliser et partager leurs propres visites audios dans tous les lieux culturels, depuis les musées jusqu’aux espaces de street art. Flexibilité absolue : la seule limite est leur imagination. Tout cela concentré dans une seule application, prête à accompagner toutes vos balades culturelles : Découvrez Karacal et rejoignez la communauté ! »

Mon point de vue : Une belle idée, qui défie la rigidité des audioguides ! Les visites seront tout de suite moins austères et mêmes les moins fans d’art pourront trouver un podcast à leur goût.  Il est important de rendre l’art plus accessible à tous et si les nouvelles technologies permettent de démocratiser la culture il est intelligent de développer cet aspect du digital.

Margot Cherbit

Logo

Inspirations et sources :
https://www.beauxarts.com/lifestyle/5-innovations-qui-transforment-les-musees/
https://www.karacal.fr/

Œuvres d’Art numérique entièrement issues du code HTML

Diana Smith nous prouve que le codage peut être un art en fusionnant ses connaissances techniques et son admiration pour l’art afin produire d’impressionnants portraits en utilisant CSS.   
Les développeurs, mais également les personnes moins à l’aise avec les techniques de codage sont très impressionnés par le travail de cette ingénieure.

Jusque dans les moindres détails, Diana Smith a réalisé à la perfection des représentations de la peinture baroque flamande ou la publicité des années 50. C’est un travail incroyable qui montre combien de projets créatifs peuvent être réalisés par des experts en CSS.

C’est un travail minutieux, en particulier en ce qui concerne les détails comme les cheveux, qui nécessite que Smith tape chaque mèche. Pourtant, le projet personnel est une manière pour elle de s’inspirer de l’art qu’elle voit et d’appliquer ses connaissances pour se l’approprier, a-t-elle dit.

«J’ai été inspiré pour commencer l’art CSS en général en travaillant en tant que développeur Web et en étant exaspéré à quel point il était fastidieux de synchroniser des images dans des environnements locaux / de test / de production […] Mes premiers projets consistaient à travailler sur des sites dont les mises en page étaient très graphiques, il n’était donc pas toujours si rapide de mettre à jour ces mises en page déjà mises en œuvre. Mais j’ai remarqué que presque tous ces sites étaient de conception assez minimaliste, alors j’ai commencé à en reconstruire beaucoup en CSS juste pour me faciliter la vie. CSS commençait alors à devenir absurdement puissant, donc c’était une période inspirante. J’ai commencé à faire des illustrations à la maison avec CSS, juste pour m’amuser un peu. »

La création d’images avec CSS implique donc l’écriture de code HTML pour afficher un objet dans un navigateur Web. De là, nous pouvons modifier le code pour manipuler ses dimensions, sa couleur, sa forme et plus encore. La création d’images CSS est essentiellement un processus de superposition et d’arrangement de formes. Mais puisque le processus se fait entièrement avec un clavier, il est difficile de réellement vraiment vérifier comment l’image se forme au fur et à mesure.
Cette incertitude au niveau du résultat peut parfois être vue comme un jeu de devinettes. Mais ce processus n’est pas aussi simple qu’il y parait (s’il y parait); il a fallu en moyenne à Diana Smith deux semaines pour faire une seule image.

Ce qui est intéressant , voir amusant, est que nous pouvons créer notre propre œuvre en l’affichant dans différents navigateurs Web, comme Internet Explorer, Firefox, ou Google Chrome. En effet, l’image n’a pas toujours la même apparence et apparait également différemment sur téléphone que sur ordinateur. l’image peut apparaitre cubiste ou très moderne.

Mon point de vue: Le très très peu d’expérience en codage que j’ai me permet d’être très impressionnée par le travail de Diana Smith. Ce qui est encore plus étonnant est que l’ingénieure affirme que cela la relaxe bien que le travail soit très minutieux et qu’une faute de frappe puisse modifier toute l’image.
Je trouve que la possibilité de faire de l’art à partir de n’importe quel support (manuel ou technologique) montre à quel point il est universel et partout.

Video : https://video.vice.com/en_ca/video/this-painting-is-made-of-pure-web-code/5b9ad409be40775f7049ff9f

Margot Cherbit

Inspirations et sources: https://diana-adrianne.com/
https://mymodernmet.com/css-art-diana-smith/
https://www.papermag.com/digital-art-html-1-2565898009.html
https://www.vox.com/2018/5/3/17309078/digital-art-diana-a-smith-francine-coded-browser-art

Robots > Humans ?

BETTER THAN US – Andrey Junkovsky, Aleksandr Dagan et Aleksandr Kessel 

Les dernières années ont marqué l’intégration des robots et de l’intelligence artificielle dans notre société. Ces avancées technologiques rapides inquiètent certaines personnes, d’un remplacement de l’homme par la machine.

Faisons un retour dans l’histoire : les machines sont nées il n’y a pas si longtemps dans me monde humain (avec l’industrie puis dans notre quotidien). On peut définir le robot comme une machine dotée d’une autonomie physique ; il peut prendre des décisions tout seul sans avoir besoin d’une commande par l’humain. C’est pourquoi, de nombreux corps de métiers sont menacés aujourd’hui par la technologie. 

Le sujet de cet article va porter sur l’avancement de la robotisation dans notre monde, et je vais l’illustrer avec la nouvelle série Russe apparue sur Netflix cette année, appellée « Better Than Us » et réalisée par Andrey Junkovsky, Aleksandr Dagan et Aleksandr Kessel. C’est donc au tour de la Russie de présenter son rapport à la robotique et sa vision du futur. 

En effet, la série se déroule à Moscou, dans un futur proche, dans lequel l’homme est quotidiennement assisté par des robots et ou ces derniers font partie intégrante de la société. Société minimaliste à l’esthétique froide et vide d’émotions dans laquelle les immeubles sont tous blancs et semblables. Georgy, personnage principal de la série, est un médecin dont la situation familiale est compliquée, et qui doit également gérer un meurtre commis par un robot. Meutre commis par Risa (interprété par l’actrice Paulina Andreeva), une « Bot » de nouvelle génération capable d’empathie, qui tue un employé de la CRONOS Corporation avant de s’enfuir.

J’ai personnellement beaucoup aimé la saison 1 de cette série. On remarque tout de même que les codes de la société occidentale sont encore présents. Le message est clair, les robots prendront un jour le dessus, car l’humanité possède aussi ses limites et ses faiblesses. Enfin, malgré que le casting soit entièrement russe, le jeu d’acteur et le fil de l’histoire ne laisse pas cette culture nordique être impliquée. C’est d’ailleurs pour son côté neutre que la série est diffusée sur le Netflix français. 

https://fr.ign.com/better-than-us/24811/feature/better-than-us-pilote-moins-fort-que-humans-critique-serie

http://www.critictoo.com/news/better-than-us-saison-1-lancement-netflix/

GUESSAB CHOUROUK

CINTRES CONNECTÉS

Un cintre connecté est un cintre intelligent désigné pour diffuser des informations spécifiques sur un petit écran destiné aux consommateurs. Il affiche un contenu concernant le vêtement posé sur le cintre, et informe les visiteurs du consommateurs de la taille de l’article, des tailles disponibles, de la marque…

Les Galeries Lafayette ont récemment ouvert un nouveau magasin aux Champs-Élysées. Ce magasin inaugure un nouveau genre d’experience, une relation entre le client et le vendeur pas commune qui intègre par exemple l’innovation du cintre intelligent.

En effet, dans les magasins ou centres commerciaux traditionnels, les cintres non-connectés demandent une attention et une présence plus attentive des vendeurs. Un client qui va vouloir chercher une taille particulière va par exemple demander l’aide du vendeur, alors qu’avec un cintre connecté comme aux Galeries Lafayette, le client va avoir toute les informations dont il a besoin sur le cintre et n’aura pas forcément besoin de demander l’aide du vendeur. La seule implication du vendeur sera bien sur d’orienter le visiteur du magasin vers les cabines d’essayages, et de lui apporter les tailles disponibles; bref un service instantané. Cependant, cette expérience client poussent tout de même les vendeurs à consacrer du temps aux visiteurs.

Les cintres connectés sont un brevet déposé par les Galeries Lafayette qui sont actuellement les seuls sur le marché de la mode à en avoir. Il a été mis en place pour améliorer l’experience des clients, avec une interface utilisateur intuitive, tactile, et lumineuse.

À mon avis, il y’a beaucoup de marques qui doivent envier les Galeries Lafayette pour leur innovation. Il y’a quand même un énorme avantage à cette expérience client, les visiteurs d’un magasin se plongent d’une part dans la technologie, qui pour moi est un monde à explorer encore plus; mais aussi se facilite la vie de shoppeur car toute les informations d’un magasin sont connectés à ce cintre.

Je pense sincèrement que l’experience client aux Galeries a gagné des points, et je m’intéresserait plus à ce genre d’expérience client que les magasins traditionnelles.

Le cintre intelligent, innovation digitale des Galeries Lafayette

LE CINTRE CONNECTÉ

GUESSAB ACHOUAK

Spielberg, READY PLAYER ONE

Ready Player One – SPIELBERG 

Je l’avoue, je suis très fan des films de science-fiction, c’est un sujet que je trouve actuel et intéressant. Cet article va porter sur le film « Ready Player One » de Spielberg, qui a connu un franc succès. Il mêle nouvelle technologie et crises économique et sociale autour d’une réalisation originale et intrigante. 

Pour faire le synopsis habituel, le film se déroule en l’an 2045 dans un monde apocalyptique voire invivable, dans lequel la population, pour s’évader, enfile un casque de réalité virtuelle pour rentrer dans l’Oasis, un jeu créé par James Halliday. Dans ce monde virtuel, vous choisissez votre apparence et fréquentez des personnes que vous ne connaissez pas dans le monde réel. Le but du jeu est de s’emparer de l’œuf de Pasques caché par le fondateur de ce monde virtuel et ainsi devenir la personne la plus riche. 

Selon moi, ce film est encore une preuve du talent de son réalisateur. Malgré ses 71 ans, il continue à envoyer des messages aux générations plus jeunes, comme les mises en garde d’un père envers ses enfants. 

Le décor et les effets spéciaux du film sont tous plus fous les uns que les autres et transforment le film en un véritable spectacle de couleurs. 

Malgré son coté futuriste (le film se déroule dans le futur, en 2045), de nombreux indices le connectent à notre époque. En effet, le jeu ne limite pas les participants. On retrouve donc des jeunes de 16 ans en quête de richesse, mais aussi des patrons d’entreprises (IOI dans le film) en quête de pouvoir et de monopole. Ces patrons font référence à Google et Facebook, géants de nos jours, rêvant d’un monopole absolu voire totalitaire du marché. 

Le réalisateur de Ready Player One met en scène un monde insalubre où la réalité s’effrite au profit du digital. Le film tourne autour d’un adolescent solitaire qui se réfugie dans les jeux vidéo. Ce dernier sera à l’issue du film, le gagnant du jeu, la personne la plus riche et la plus admirée. L’un des articles affirme qu’on croirait à un autoportrait du réalisateur lui-même, Spielberg. 

Pour finir, on peut retrouver dans ce film les mêmes mises en garde que rassemble les divertissements télévisés qui réfèrent aux nouvelles technologies. Cette montée du digital représente un réel danger pour les jeunes générations qui se construisent encore. L’aspect addictif de ces jeux peut entraines de gros risques. 

Sources : 

https://www.lefigaro.fr/cinema/2018/03/28/03002-20180328ARTFIG00265–ready-player-one-la-presse-accro-au-nouveau-jouet-de-spielberg.php

https://www.lefigaro.fr/cinema/2018/03/28/03002-20180328ARTFIG00265–ready-player-one-la-presse-accro-au-nouveau-jouet-de-spielberg.php

GUESSAB CHOUROUK SABRINA

VETEMENTS INTÉLLIGENTS

De nos jours, le monde de la mode est connecté. Nous avons vécu plusieurs révolutions industrielles, plusieurs évolutions technologiques, et aujourd’hui nos vêtements peuvent nous rendre service. L’article d’aujourd’hui portera sur les vêtements intelligents, et principalement tous les vêtements au service de la santé dans le monde de la mode.

Par exemple, des vêtements connectés ont été conçus dans le but principal est de surveiller l’épilepsie chez les personnes atteintes. Ce sont des vêtements connectés capable d’enregistrer à distance l’activité épileptique chez les gens. C’est une innovation incroyable car elle permet aux personnes touchés de recevoir les traitements adaptés en temps voulu.

Comment ça fonctionne ? Par exemple, un bonnet va récupérer des données cérébrales, tandis qu’un T-shirt va pouvoir recueillir des données cardiaques et respiratoires. Les données sont stockées dans une carte mémoire et transmises directement sur un hébergeur. Ces vêtements possèdent des batteries rechargeables et ont une durée de vie de 30 lavages.

Pour une telle innovation dans le monde du textile, elle fait un carton chez les sportifs. En effet, quoi de mieux qu’un vêtement intelligent pour surveiller son rythme cardiaque, sa respiration et mesurer sa condition physique sur le terrain? Des alertes sont sonnées en cas d’inhabituelle activité interne, et ça, ça permet de sauver des vies.

Je pense que c’est vraiment une nouvelle façon d’intégrer la technologie à la santé et à la mode pour les personnes qui ont besoin d’une attention spécialisée. Par contre, je trouve que le seul point à améliorer est bien évidement le côté design. Un vêtement intelligent sera forcément fabriqué de façon à servir la santé, et non la mode. Nous sommes tout de même dans une industrie superficielle, l’apparence est donc d’une grande importance.

https://www.industrie-techno.com/article/des-vetements-connectes-pour-ameliorer-le-diagnostic-de-l-epilepsie.51838

guessab achouak

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