Les arts numériques réinventent les rapports de l’art avec la technique et les sciences, mélangeant ainsi informatique et robotique dans une vision artistique globale.
C’est en suivant cette idée d’art nouveau que La Biennale de Arts Numériques permet de nous expose à l’art contemporain numérique, aux rapports entre les arts et les sciences, ou encore aux enjeux sociétaux du numérique…
Cinq mois d’art, de concerts, et de performances en tout genre, et tous publics , présentés au Centquatre à Paris dans le cadre de la troisième Biennale des arts numériques (édition Némo 2019 – 2020).
Cette édition dirigée par Gilles Alvarez du CENT QUATRE à Paris (institution du 19ème arrondissement de Paris) , celle-ci se déploie également dans plusieurs lieux de l’Île-de-France.
Du 3 octobre 2019 au 9 février 2020 cette édition Némo pose une question encore plus ouverte que lors des éditions précédentes, à la mesure des avancées technologiques :
« le genre humain est-il appelé à disparaître sous l’assaut des nouvelles technologies dont les fameuses NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives) ? »
Des œuvres et des objets plus ou moins futuristes, désirables, ou dérangeants, devraient permettre de mieux appréhender ce futurs très technologique.
Ces représentations artistiques de futurs possibles susciteront assurément des débats autour de nos enjeux de société́ et des futurs préférables pour nous suggérer qu’il est encore et toujours temps d’agir ou de continuer à faire confiance aux nouveautés technologiques.
Mon point de vue : Il s’agit de se rendre compte de de la place de le technologie dans la vie quotidienne et d’apprendre à la fois à vivre avec les machines et les réalités virtuelles, mais également de connaitre les limites de ces nouvelles technologies.
L’idée omniprésente est concept « d’intelligence artificielle », un concept presque oxymore.
Cette omniprésence de la technologie m’effraie légèrement car je ne m’y connais que très peu en technologie, mais cette biennale est un bon moyen de présenter de nouveaux artistes ou de nouvelles façons de faire de l’art à travers les nombreuses possibilités des arts numériques. Il s’agit d’un réel voyage vers des représentations étranges, originales, voir dérangeantes, dans le but de s’interroger sur remplacement du genre humain.
Margot Cherbit

Inspirations et sources:
https://www.biennalenemo.fr/
https://www.beauxarts.com/videos/la-biennale-des-arts-numeriques-nemo-au-centquatre-paris/
https://www.france.fr/fr/maintenant-en-france/biennale-internationale-des-arts-numeriques-nemo-a-paris